S’asseoir
Dans le boudoir du néant
S’abandonner à l’immensité du rien qui s’étend
S’asseoir
Écouter l’inutile silence qui se meut
Le soupir de notre ange
Qui rêve d’un monde heureux
S’asseoir
Et boire l’eau de la vie
Échappée de nos envasements
Ouvrir l’espace du cœur
À son doux firmament
S’asseoir
Et contempler
La beauté infinie
Accrochée à la nacelle
De l’Amour Universel.
Hélène Sayen
Le 17/05/2013
Voir
Au Coeur Poète
Vous aimez, n’hésitez pas à cliquer sur "J’aime" et à partager
Pour recevoir les dernières parutions inscrivez-vous dans ''Le Nouveau en Mots''
Merci de votre fidélité
Juin 17 2013
S'Asseoir...
S’asseoir
Dans le boudoir du néant
S’abandonner à l’immensité du rien qui s’étend
S’asseoir
Écouter l’inutile silence qui se meut
Le soupir de notre ange
Qui rêve d’un monde heureux
S’asseoir
Et boire l’eau de la vie
Échappée de nos envasements
Ouvrir l’espace du cœur
À son doux firmament
S’asseoir
Et contempler
La beauté infinie
Accrochée à la nacelle
De l’Amour Universel.
Hélène Sayen
Le 17/05/2013
Voir
Au Coeur Poète
Vous aimez, n’hésitez pas à cliquer sur "J’aime" et à partager
Pour recevoir les dernières parutions inscrivez-vous dans ''Le Nouveau en Mots''
Merci de votre fidélité
Par Soriah • Au Coeur Poète • 0