Est-ce que ça suffit maintenant ? Tu es prêt désormais ?
Veux-tu vraiment connaître les réponses à tes questions ou ne fais-tu que brasser de l'air ?
La vérité a été proférée du haut des plus hautes montagnes. Elle a courue comme un murmure au fin fond des contrées lointaines, et dans les méandres de toutes expériences humaines, et cette vérité a trouvé écho.
La réponse… C'est l'amour…
Mais vous avez mit Dieu dans le rôle du père, et c'est ainsi que vous en avez fait un Dieu qui juge, qui récompense ou qui châtie...
Tu as élaboré une conception de l'amour fondée sur la peur. Et cette conception de l'amour fondée sur la peur prend le pas sur la réalité de ce que tu ressens dans l'amour… En fait, elle en vient même à façonner tes sentiments.
Tu as besoin de la peur pour exister ? Pour agir ? Et pour obtenir ce qui t'est du ? As tu besoin de te sentir menacé pour être bon ? Et que signifie être bon ? Qui en décide au bout du compte ?
Écoute… C'est toi qui fixe les règles, c'est toi qui dessine les grandes lignes, il n'y a rien d'autre que l'amour. Je sais … Tu as déjà entendu ceci. Mais lorsque les problèmes surgissent, que tu es face aux ennuis et aux doutes ou à la peur, tu fais le choix de l'oublier…
Il faudrait simplement que tu parviennes à répondre à cette question. Quel secours m'apporterait l'amour aujourd'hui ?
Vivre la vie sans attente, sans éprouver le besoin de parvenir à des résultats, c'est ça… La liberté…
N'oublie pas, la création de soi est un travail constant, à chaque instant c'est toi qui décide qui tu es et ce que tu es… Et ce travail dépend en grande partie des choix qui sont les tiens, à l'égard des êtres et des choses qui te passionnent.
La souffrance n'a rien à voir avec les évènements eux-mêmes, mais de la façon dont nous les vivons. Les faits ne sont rien d'autre que les faits, mais ce que nous ressentons à leur égard, c'est une autre affaire.
Tu ne peux pas avoir tout ce que tu veux… Cette quête est la manifestation d'un manque… et le fait de désirer quelque chose, te sert simplement à faire surgir dans la réalité, qui est la tienne, l'expérience du besoin.
Devrais-je donc te punir pour avoir fait un choix que je t'ai moi-même proposé ? C'est la question que tu devrais te poser avant de m'assigner le rôle d'un Dieu qui condamne.
Combien de fois m'as-tu supplié ? Montre-moi, explique-moi, révèle-moi ce que je suis.
C'est ce que je fais aujourd'hui, dans la clarté, de telle sorte qu'il n'y ai pas de méprise, je suis là, ici même, en cet instant…
Le moment est venu de rejoindre l'espace de Dieu, aujourd'hui plus que jamais. Tu y trouveras la paix de l'âme, les grandes idées naissent de la paix spirituelle, des idées qui pourraient peut-être devenir des solutions aux gros problèmes que tu t'imagines avoir.
Tu t'imagines peut être que je n'arriverai jamais à résoudre un tel problème ?
Je peux comprendre que tu te dises qu'il s'agit là d'une vaste entreprise qui va bien au delà de tes possibilités, même avec tous les outils que je t'ai fourni, mais penses-tu vraiment que cette entreprise soit trop vaste pour moi ? Je n'attends rien d'autre de toi, que de te savoir heureux… mais tu te considères inférieur à moi, lorsque qu'en réalité, toi et moi, nous ne faisons qu'un… Rien ne nous sépare. Ce que j'attends de toi, c'est ce que toi tu attends… ni plus, ni moins…
Je ne me mêlerai pas des modalités de ta vie terrestre… C'est ton affaire… N'accorde pas trop d'importance aux circonstances de ce mode de vie. Les vrais maîtres sont ceux qui ont décidé d'avoir une vie avant de privilégier un mode de vie.
Fonce… Fais ce qui te tiens vraiment à cœur, rien d'autre... Tu as si peu de temps, comment peux-tu penser gâcher un seul instant à édifier une vie qui ne te ressemble pas. Ce n'est pas une vie… ça c'est une mort...
Neale Donald Walsh"
"Conversations avec Dieu"
Voir
Neale Donald Walsch
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Sep 8 2012
Avoir une vie...
Est-ce que ça suffit maintenant ? Tu es prêt désormais ?
Veux-tu vraiment connaître les réponses à tes questions ou ne fais-tu que brasser de l'air ?
La vérité a été proférée du haut des plus hautes montagnes. Elle a courue comme un murmure au fin fond des contrées lointaines, et dans les méandres de toutes expériences humaines, et cette vérité a trouvé écho.
La réponse… C'est l'amour…
Mais vous avez mit Dieu dans le rôle du père, et c'est ainsi que vous en avez fait un Dieu qui juge, qui récompense ou qui châtie...
Tu as élaboré une conception de l'amour fondée sur la peur. Et cette conception de l'amour fondée sur la peur prend le pas sur la réalité de ce que tu ressens dans l'amour… En fait, elle en vient même à façonner tes sentiments.
Tu as besoin de la peur pour exister ? Pour agir ? Et pour obtenir ce qui t'est du ? As tu besoin de te sentir menacé pour être bon ? Et que signifie être bon ? Qui en décide au bout du compte ?
Écoute… C'est toi qui fixe les règles, c'est toi qui dessine les grandes lignes, il n'y a rien d'autre que l'amour. Je sais … Tu as déjà entendu ceci. Mais lorsque les problèmes surgissent, que tu es face aux ennuis et aux doutes ou à la peur, tu fais le choix de l'oublier…
Il faudrait simplement que tu parviennes à répondre à cette question. Quel secours m'apporterait l'amour aujourd'hui ?
Vivre la vie sans attente, sans éprouver le besoin de parvenir à des résultats, c'est ça… La liberté…
N'oublie pas, la création de soi est un travail constant, à chaque instant c'est toi qui décide qui tu es et ce que tu es… Et ce travail dépend en grande partie des choix qui sont les tiens, à l'égard des êtres et des choses qui te passionnent.
La souffrance n'a rien à voir avec les évènements eux-mêmes, mais de la façon dont nous les vivons. Les faits ne sont rien d'autre que les faits, mais ce que nous ressentons à leur égard, c'est une autre affaire.
Tu ne peux pas avoir tout ce que tu veux… Cette quête est la manifestation d'un manque… et le fait de désirer quelque chose, te sert simplement à faire surgir dans la réalité, qui est la tienne, l'expérience du besoin.
Devrais-je donc te punir pour avoir fait un choix que je t'ai moi-même proposé ? C'est la question que tu devrais te poser avant de m'assigner le rôle d'un Dieu qui condamne.
Combien de fois m'as-tu supplié ? Montre-moi, explique-moi, révèle-moi ce que je suis.
C'est ce que je fais aujourd'hui, dans la clarté, de telle sorte qu'il n'y ai pas de méprise, je suis là, ici même, en cet instant…
Le moment est venu de rejoindre l'espace de Dieu, aujourd'hui plus que jamais. Tu y trouveras la paix de l'âme, les grandes idées naissent de la paix spirituelle, des idées qui pourraient peut-être devenir des solutions aux gros problèmes que tu t'imagines avoir.
Tu t'imagines peut être que je n'arriverai jamais à résoudre un tel problème ?
Je peux comprendre que tu te dises qu'il s'agit là d'une vaste entreprise qui va bien au delà de tes possibilités, même avec tous les outils que je t'ai fourni, mais penses-tu vraiment que cette entreprise soit trop vaste pour moi ? Je n'attends rien d'autre de toi, que de te savoir heureux… mais tu te considères inférieur à moi, lorsque qu'en réalité, toi et moi, nous ne faisons qu'un… Rien ne nous sépare. Ce que j'attends de toi, c'est ce que toi tu attends… ni plus, ni moins…
Je ne me mêlerai pas des modalités de ta vie terrestre… C'est ton affaire… N'accorde pas trop d'importance aux circonstances de ce mode de vie. Les vrais maîtres sont ceux qui ont décidé d'avoir une vie avant de privilégier un mode de vie.
Fonce… Fais ce qui te tiens vraiment à cœur, rien d'autre... Tu as si peu de temps, comment peux-tu penser gâcher un seul instant à édifier une vie qui ne te ressemble pas. Ce n'est pas une vie… ça c'est une mort...
Neale Donald Walsh"
"Conversations avec Dieu"
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Par Soriah • Neale Donald Walsch • 0