Tout ne dépend que de toi
Le bonheur ne dépend que de toi,
La clef de ton coffre à trésors t'a déjà été remise,
Depuis tout ce temps tu l'avais oubliée,
Tu pensais qu'elle s'était perdue.
Alors tu as invoqué la terre entière,
Comme étant la cause de cette perte,
Tu as crié ton désarroi,
Estimant que la faute de ton mal être incombait aux autres.
Sois rassuré,
Cette clef est toujours en ta possession,
Elle n'attend que toi,
Et la porte elle est bien là,
Devant tes yeux,
Mais tu demeures prostré devant,
Tu restes figé en la regardant.
Car tu as peur de ce qu'il y a derrière,
Tu crains de découvrir un nouveau monde,
Tu n'as pas l'habitude de cela,
Tu es bien finalement là où tu es,
A lutter contre toi,
A lutter contre tes émotions,
A lutter contre tes frères et tes soeurs,
A les blâmer de ne pouvoir être toi.
Si tu attends que cela se décante,
Les minutes que tu perdras à cela,
Se transformeront en heures,
Et puis en jours,
Et puis en semaines,
Et puis en mois,
Et puis en années.
Et tu en seras toujours au même point.
Glacer d'effroi devant les portes de ton paradis.
Tu sais tout le monde t'attend,
Tout le monde est prêt pour la fête,
Tu n'as pas idée comme ils la préparent depuis tout ce temps,
Qu'ils patientent,
Que tu veuilles enfin bien franchir ce seuil.
Personne ne t’y poussera,
Personne ne t'y obligera,
Tout ne dépend que de toi,
De TOI seulement.
Alors on y va ?
Nicolas Karels
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Déc 25 2011
Tout dépend de toi
Tout ne dépend que de toi
Le bonheur ne dépend que de toi,
La clef de ton coffre à trésors t'a déjà été remise,
Depuis tout ce temps tu l'avais oubliée,
Tu pensais qu'elle s'était perdue.
Alors tu as invoqué la terre entière,
Comme étant la cause de cette perte,
Tu as crié ton désarroi,
Estimant que la faute de ton mal être incombait aux autres.
Sois rassuré,
Cette clef est toujours en ta possession,
Elle n'attend que toi,
Et la porte elle est bien là,
Devant tes yeux,
Mais tu demeures prostré devant,
Tu restes figé en la regardant.
Car tu as peur de ce qu'il y a derrière,
Tu crains de découvrir un nouveau monde,
Tu n'as pas l'habitude de cela,
Tu es bien finalement là où tu es,
A lutter contre toi,
A lutter contre tes émotions,
A lutter contre tes frères et tes soeurs,
A les blâmer de ne pouvoir être toi.
Si tu attends que cela se décante,
Les minutes que tu perdras à cela,
Se transformeront en heures,
Et puis en jours,
Et puis en semaines,
Et puis en mois,
Et puis en années.
Et tu en seras toujours au même point.
Glacer d'effroi devant les portes de ton paradis.
Tu sais tout le monde t'attend,
Tout le monde est prêt pour la fête,
Tu n'as pas idée comme ils la préparent depuis tout ce temps,
Qu'ils patientent,
Que tu veuilles enfin bien franchir ce seuil.
Personne ne t’y poussera,
Personne ne t'y obligera,
Tout ne dépend que de toi,
De TOI seulement.
Alors on y va ?
Nicolas Karels
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