Jan 8 2017
N'étant plus nourri d'en haut, son plexus solaire est esclave des informations reçues d'en bas. Les médecines psychiatriques et psychosomatiques sont basées sur cet état de fait.
Elles n'essaient pas de "renverser la vapeur", mais de donner à des valeurs d'en bas cette force d'absolu capable de remplacer l'Absolu d'en haut.
C'est ainsi que nous voyons l’École freudienne faire œuvre juste en libérant l'Homme du moralisme contraignant attaché en l'Occident au monde de la sexualité, mais faire œuvre plus discutable en érigeant cette dernière en parangon des plus hautes motivations humaines.La meilleure médecine, selon notre schéma, consiste à remettre le patient sur le chemin d'une "marche à l'endroit". Mais une telle attitude donnerait à supposer, de la part de cette science, la reconnaissance de la réalité de ce plan spirituel de l'Homme, de cet être essentiel en lui, de sa vocation divine.
Si elle rentrait dans cette perspective, il est certain que le médecin redeviendrait le prêtre qu'il était autrefois, "prêtre" au sens de "maître" et non pas d'arbitre de la morale ou le concurrent complexé du leader politique devenu en Occident.
C'est par l'effet d'un véritable reversement de la vapeur qu'il aurait tout d'abord opéré en lui-même, que ce maître pourrait amener les autres à stopper leur processus d'involution et les mettre ensuite sur le chemin de l'évolution.
Toute autre médecine laisse l'Homme dans une impasse... ou sur un palier nécessaire pendant un temps, mais qui, de toute façon, appelle un jour un autre palier.
Annick de Souzenelle
Par Soriah • Partages du coeur •
Jan 8 2017
L'Homme Vit "A l'Envers"
N'étant plus nourri d'en haut, son plexus solaire est esclave des informations reçues d'en bas. Les médecines psychiatriques et psychosomatiques sont basées sur cet état de fait.
Elles n'essaient pas de "renverser la vapeur", mais de donner à des valeurs d'en bas cette force d'absolu capable de remplacer l'Absolu d'en haut.
C'est ainsi que nous voyons l’École freudienne faire œuvre juste en libérant l'Homme du moralisme contraignant attaché en l'Occident au monde de la sexualité, mais faire œuvre plus discutable en érigeant cette dernière en parangon des plus hautes motivations humaines.
La meilleure médecine, selon notre schéma, consiste à remettre le patient sur le chemin d'une "marche à l'endroit". Mais une telle attitude donnerait à supposer, de la part de cette science, la reconnaissance de la réalité de ce plan spirituel de l'Homme, de cet être essentiel en lui, de sa vocation divine.
Si elle rentrait dans cette perspective, il est certain que le médecin redeviendrait le prêtre qu'il était autrefois, "prêtre" au sens de "maître" et non pas d'arbitre de la morale ou le concurrent complexé du leader politique devenu en Occident.
C'est par l'effet d'un véritable reversement de la vapeur qu'il aurait tout d'abord opéré en lui-même, que ce maître pourrait amener les autres à stopper leur processus d'involution et les mettre ensuite sur le chemin de l'évolution.
Toute autre médecine laisse l'Homme dans une impasse... ou sur un palier nécessaire pendant un temps, mais qui, de toute façon, appelle un jour un autre palier.
Annick de Souzenelle
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