Août 15 2014
SI - ZAZ -
Les talents se conjuguent
pour que tous les coeurs s'unissent...
Si j'étais l'amie du bon Dieu
Si je connaissais les prières
Si j'avais le sang bleu
Le don d'effacer et tout refaire.
Si j'étais reine ou magicienne,
princesse, fée, grand capitaine
d'un noble régiment
Si j'avais les pas d'un géant...
Je mettrais du ciel aux misères
Toutes les larmes aux rivière
Et fleurirais des sables où filent même l'espoir
Je sèmerais des utopies
Plier serait interdit,
On ne détournerait plus les regards.
Si j'avais des mille et des cents,
Le talent, la force ou les charmes,
Des maîtres, des puissants,
Si j'avais les clés de leur âme.
Si je savais prendre les armes
Au feu d'une armée de titans
J'allumerais des flammes
Dans les rêves éteints des enfants.
Je mettrais des couleurs aux peines
J'inventerais des Édens
Aux pas de chance, aux pas d'étoiles,
aux moins que rien.
Mais je n'ai qu'un cœur en guenille
Et deux mains tendues de brindilles
Une voix que le vent chasse au matin.
Mais si nos mains nues se rassemblent,
Nos millions de cœurs ensemble,
Si nos voix s'unissaient
Quel hiver y résisterait ?
Un monde fort, une terre âme sœur,
Nous bâtirons dans ces cendres
Peu à peu, miette à miette,
goutte à goutte et cœur à cœur.
Peu à peu, miette à miette,
goutte à goutte et cœur à cœur.
Paroles Jean-Jacques Goldman
Par Soriah • Zaz •
Août 15 2014
Si
SI - ZAZ -
Les talents se conjuguent
pour que tous les coeurs s'unissent...
Si j'étais l'amie du bon Dieu
Si je connaissais les prières
Si j'avais le sang bleu
Le don d'effacer et tout refaire.
Si j'étais reine ou magicienne,
princesse, fée, grand capitaine
d'un noble régiment
Si j'avais les pas d'un géant...
Je mettrais du ciel aux misères
Toutes les larmes aux rivière
Et fleurirais des sables où filent même l'espoir
Je sèmerais des utopies
Plier serait interdit,
On ne détournerait plus les regards.
Si j'avais des mille et des cents,
Le talent, la force ou les charmes,
Des maîtres, des puissants,
Si j'avais les clés de leur âme.
Si je savais prendre les armes
Au feu d'une armée de titans
J'allumerais des flammes
Dans les rêves éteints des enfants.
Je mettrais des couleurs aux peines
J'inventerais des Édens
Aux pas de chance, aux pas d'étoiles,
aux moins que rien.
Mais je n'ai qu'un cœur en guenille
Et deux mains tendues de brindilles
Une voix que le vent chasse au matin.
Mais si nos mains nues se rassemblent,
Nos millions de cœurs ensemble,
Si nos voix s'unissaient
Quel hiver y résisterait ?
Un monde fort, une terre âme sœur,
Nous bâtirons dans ces cendres
Peu à peu, miette à miette,
goutte à goutte et cœur à cœur.
Peu à peu, miette à miette,
goutte à goutte et cœur à cœur.
Paroles Jean-Jacques Goldman
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